Début en Frôce[]
Les premiers pas en politique[]
Face à la mondialisation, "Les Réformateurs" prônent des changements rapides et profonds. En matière économique ils préconisent le laisser-faire : l'État doit laisser la place à l'individu et au marché au lieu d'intervenir dans de nombreux secteurs de la vie économique et sociale. De plus, ils sont favorables à la suppression des taxes douanières aux frontières afin que les marchandises, les biens et les personnes puissent circuler plus librement entre les pays.
Au sein de ce courant les membres les plus actifs sont Jean-Baptiste Marshall et Lisandru Benelli.
Le 16 juillet, Jean-Baptiste Marshall est nommé Vice-Président de l'UMP par Juliette Solerne-Peletier, alors Présidente de l'UMP à l'époque. C'est avec cette dernière que Jean-Baptiste Marshall entame la refonte du parti qui aboutira le 25 juillet quand l'Union pour un Mouvement Populaire devient l'Alliance Libérale Populaire. Le même jour, Jean-Baptiste Marshall est nommé Secrétaire Général Adjoint et Trésorier de l'Alliance Libérale Populaire.
Jean-Baptiste Marshall étant socialement conservateur et économiquement libéral, il représente l'aile droite de l'ALP. Malgré son investissement au sein du parti, Jean-Baptiste Marshall est décrié par certaines personnes au sein du parti, dont Yohann Vivier. L'ALP ne semble plus correspondre aux idées de Jean-Baptiste Marshall, il décide donc de quitter l'Alliance Libérale Populaire le 5 août 2008.
Le même jour, Jean-Baptiste Marshall demande à la Cour Suprême les autorisations pour la création d'un nouveau parti politique, le "Mouvement Libéral Conservateur" (MLC).
L'époque du Mouvement Libéral Conservateur[]
Le 8 août 2008, le Mouvement Libéral Conservateur (MLC) voit le jour. Dès le premier jour, Jean-Baptiste Marshall nomme un Bureau National, recrute les premiers membres et insuffle un bon dynamisme au parti. Le MLC étant encore jeune, il ne présente aucun candidat lors de l'élection présidentielle du mois d'août. Néanmoins, en septembre 2008, le MLC présente plusieurs candidats dans différentes régions de Frôce. Jean-Baptiste Marshall, le candidat MLC, devait faire une alliance avec l'ALP lors de cette élection en Coeur de Frôce. Mais c'est une trahison politique, car l'ALP présente son propre candidat sans en informer le MLC. De ce fait, JBM n'ayant plus de colistier ALP, sa candidature est invalidée par la Cour Suprême à la dernière minute en région Cœur de Frôce.
Toujours lors de ces élections régionales, le Mouvement Libéral Conservateur remporte, dès le premier tour, une région en Frôce. C'est à dire les Ôlpes Frôceuses par Lisandru Bennelli. Sur l’île de l’Agrume la situation est un peu plus complexe, car la CS a invalidé les élections de cette région. Pourtant le candidat MLC, Thomas Hord était arrivé en tête avec 57% de votes. Lors du deuxième vote en IA, Thomas Hord perd l'élection.
Les élections régionales débouchent donc sur l'élection d'un membre du MLC à la tête d'une région, les Ôlpes Frôceuses par Lisandru Bennelli.
Le 20 août 2008, Jean-Baptiste Marshall devient député MLC à l'Assemblée Nationale en remplacement de Lisandru Benelli. Le MLC fait donc son entrée à l'Assemblée Nationale.
Au mois de septembre, c'est l'élection législative. Une occasion en or pour le MLC de renforcer sa présence à l'Assemblée Nationale.
Seulement, pour des raisons personnelles, Jean-Baptiste Marshall retourne dans son pays d'origine, aux États-Unis d'Amérique, le 23 septembre 2008.
James B. Lewis, alors Vice-Président du MLC prend la Présidence du parti. Mais celui-ci ne sait pas gérer le parti et semble avoir quitté la Frôce. Le MLC est en crise et Thomas Hord en prend la Présidence. Il tente donc de le faire re-vivre, mais sans succès. Personne n'a réussi à reprendre le MLC après le départ de Jean-Baptiste Marshall. Le MLC est donc dissout courant octobre 2008.
Retour en Frôce[]
JBM fait son retour en Frôce le 23 décembre 2008. Il souhaite s'investir dans les affaires, mais rapidement, sa passion pour la vie politique reprend le dessus. Face à une droite molle et une gauche arrogante et un centre mou, Jean-Baptiste Marshall fonde avec Jean de la Rochesapin et Thomas Hord, un nouveau parti politique, le MDL (Mouvement de la Droite Libre). Le MDL regroupe des gens de droite, socialement conservateur et économiquement libéral.
L'époque du Mouvement de la Droite Libre[]
Le MDL voit donc le jour le 26 décembre 2008. Deux jours plus tard, Jean-Baptiste Marshall est élu à la tête de son nouveau parti.
La première échéance électorale pour le MDL fut les élections régionales du mois de janvier 2009. Le parti ne présente qu'un seul candidat, Jean-Baptiste Marshall en région Coeur-de-Frôce. Après une longue et passionnante campagne qui l'oppose à Lucas Hardi, le candidat du MDL, Jean-Baptiste Marshall, que tout le monde croyait battu d'avance, fit un score plus qu'honorable, c'est-à-dire 44% des voix, tandis que son adversaire obtint 55%. Une seule voix fit la différence.
Mais Jean-Baptiste Marshall ne se laisse pas démonter et souhaiter briguer la Présidence de la République pour la première fois. Le 13 janvier 2008, Jean-Baptiste Marchal est officiellement désigné candidat du Mouvement de la Droite Libre pour les élections présidentielles de février 2009 avec 100% des voix au sein de son parti.
Entre temps, il devient maire de la ville de Levôllas en région Coeur-de-Frôce.
Malheureusement, le 2 février, la campagne de l’élection présidentielle s'acheve au soir du premier tour avec l’élection de Laurent Terbace à la Présidence de la République avec 54,39 % des suffrages. Mais Jean-Baptiste Marshall obtient tout de même 7,02% des suffrages à l'élection présidentielle. Un score honorable pour une première élection présidentielle.
Après l'échéance présidentielle, c'est au tour de l'élection législative. La première élection législative pour le Mouvement de la Droite Libre. Le 22 février le MDL fait son entrée à l’Assemblé Nationale. En effet, la liste du MDL a emportée 7,14% des suffrages exprimés. Soit 1 siège à l’AN sur les 13 qui été en jeu. Ce qui est un bon début pour le jeune parti qui n’avait même pas encore deux mois à l'époque. Jean-Baptiste Marshall devient donc député MDL à l'AN.
Le 23 février 2009, après avoir débattu au sein du Mouvement de la Droite Libre, et en concertation avec tous les membres du parti, trois courants politiques ont été créé au sein du MDL : le courant libéral-conservateur, le courant Libertarien et le courant Conservateur/Souverainiste. Une réelle diversité voit le jour au MDL.
Le 23 mars 2009, Jean-Baptiste Marshall se représente à la tête du MDL. Il est le seul candidat et est donc réélu avec 100% des voix le 29 mars 2009.
Le 11 avril 2009, l'élection présidentielle du mois de mai 2009 s'organise au sein du MDL avec la primaire. Deux candidats se présentent, il s'agit de Jean-Baptiste Marchal et Thomas Hord. La désignation de Jean-Baptiste Marchal ou Thomas Hord comme candidat du MDL à la prochaine élection présidentielle est soumise au vote des adhérents les 24, 25 et 26 avril 2009. La campagne interne ne fut pas passionnante car seul Jean-Baptiste Marshall proposa un programme, des meetings, etc. C'est tout naturellement que le 26 avril, avec 100% des voix, Jean-Baptiste Marchal est officiellement désigné candidat du Mouvement de la Droite Libre pour l'élection présidentielle de mai 2009.
Jean-Baptiste Marchal, candidat du MDL à l'élection présidentielle du mois de mai 2009, désigne alors son colistier, il s'agit de Thibaud Arthuis.
Le 11 mai, Jean-Baptiste Marchal, candidat du Mouvement de la Droite Libre récolte 15,74 % à l'élection présidentielle du 9 et 10 mai 2009. Soit le double de son score lors de la présidentielle du mois de février 2009. Le MDL devient un parti politique imporant sur la scène politique frôceuse.
Le second tour de cette élection opposa alors Jules Rémond, candidat de la FDS, à Alex Crawford, candidat MSR-PSE. Jean-Baptiste Marchal ne donna pas de consigne de vote pour le second tour de l'élection présidentielle, mais à titre personnel, il vota pour Jules Rémond.
A la suite de cette élection présidentielle, Jean-Baptiste Marshall décide de servir la Frôce autrement. Il décida d'entrer au Conseil de la République. La Présidence du MDL fut donc confiée au Vice-Président du MDL de l'époque, Tyler Johnson dès le 14 mai 2009.
Après s’être éloigné de la vie politique pendant quelques semaines pour intégrer le Conseil de la République, Jean-Baptiste Marshall fit son retour en politique avec un seul objectif, reprendre le MDL en main.
Le 13 juin 2009, Jean-Baptiste Marshall devient membre du contre-gouvernement UDP/MDL en charge du Social, de la Famille, du Travail et du Logement.
Jean-Baptiste Marshall se présente à l'élection du nouveau Président du Mouvement de la Droite Libre face à Thibaud Arthuis. Jean-Baptiste Marshall est officiellement élu Président du Mouvement de la Droite Libre avec 50% des voix le 15 juin 2009 (selon l'article 2.2 de la Charte du Mouvement de la Droite Libre : En cas d’égalité entre les 2 premiers candidats c’est le plus ancien des 2 candidats qui remporte le suffrage).
Comme promis lors de la campagne interne, il rénove le MDL avec un nouveau logo, une bannière commune, une nouvelle organisation au sein du MDL, le lancement d'une campagne de recrutement intensif, etc.
Le 17 juin 2009, Jean-Baptiste Marshall dépose une demande officielle à la Cour Suprême pour la création du Forum Libéral avec Kyoshiro Sapporo. Le Forum Libéral est une fédération se voulant être un espace de discussions, d'échanges et de débats entre tous les frôceux ayant une idéologie libéral, regroupant toutes les sensibilités de droite classique et de centre-droit.
La dictature en Frôce[]
Fin mars 2009, la Frôce bascule sous une dictature menée par Y. Poilodos. Dès le départ, JBM s'engage dans la résistance et mène l'Opération Eagle pour assassiner Yannick Poilodos avec succès. Il est fait prisonnier le même jour. Malgré plusieurs tentatives d'évasions, JBM fut enfermé tout le temps de la dictature. Il est libéré lorsque la Démocratie est rétablie en Frôce, début arvil 2009. Jean-Baptiste Marchal retrouve alors la liberté ainsi que son poste de député MDL à l'Assemblée Nationale, de maire de la ville de Levôllas en région C2F et de Président du MDL.
Le 5 mai 2009, JBM reçoit la distinction de chevalier de l'Ordre de la République pour la réussite de l'opération Eagle lors de la dictature en Frôce.
Carrière Politique | |||||
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